Romans
Aux Éditions Akki
Le Chant des Sélages
Par Françoise TISSOT GIVERS
Lorsque Luigi a proposé à Adélaïde de le suivre en Italie pour retrouver la vieille maison de son enfance, c’est à la fois un voyage dans les souvenirs et une amitié rédemptrice qu’il lui a offert. Au bout du bout du chemin il y a les incroyables rencontres et autour de soi des destins qui se croisent. Comme dirait Luigi, les pépites de l’existence ! Quand, une nuit de tramontane, bercé par le chant des sélages, plante sacrée, il a quitté ses délicieuses amies et son cher petit-fils, c’était le secret de la vie qu’il leur avait transmis. Et au milieu de cela, une aventure dans les tunnels d’Arras et à l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande. On aurait tous du plaisir et une certaine forme de sagesse à rencontrer un vieux monsieur comme Luigi. J’ai beaucoup pleuré lors de son départ. Mais je me suis promis qu’on le retrouverait dans un prochain livre. Che dolci ricordi !
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Ou en ligne sur le site édicréer.com
Aux Éditions Akki
L’aimante
Dans cette histoire, deux Louise, l’écrivaine et son personnage, l’aimante. Le roman croise leurs souvenirs d’une jeunesse compliquée et leur découverte d’un amour inespéré dans leur âge avancé. Et les événements autour d’elles qui modifient le cours d’une vie. Un appel au respect et à la tolérance.
« En Guyane, bien longtemps après, dans le crépuscule de son existence et le silence de la fin du jour sur le marais de Kaw, les yeux des crocodiles émergeants de la surface de l’eau stagnante lui paraissaient plus doux et inoffensifs que le souvenir de ceux sournois et prédateurs de sa mère. Mais ils avaient en commun un pailleté d’or et un champ de vision horizontal qui leur permettait de scanner les alentours sans même bouger la tête, l’œil qui jauge sa prochaine victime. Et la proie de la mère était sa propre fille ».
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en auto-édition
Les Ratapounades
De 1944 à 1984, Juliette, Blanche, Jane, trois femmes, trois générations. Autour d’elles une société qui change et des mentalités qui évoluent. Se frayer un chemin dans un monde injuste et brutal n’a pas été possible pour Juliette. Sa fille, sa petite fille vont relever le défi du bonheur et de son souvenir.
S’il est bien quelque chose qui échappe à notre volonté, c’est le hasard. Nos vies sont des rencontres inopinées, des croisements aléatoires, des décisions prises qui vont influer sur notre existence, nous sommes dépendants de notre environnement, de notre société.
« Être né quelque part, pour celui qui est né, c’est toujours un hasard. Nom’inqwando yes qxag iqwahasa » (Quand on a l’esprit violent, on l’a aussi confus) en langue Zoulou (Chanson de Maxime Le Forestier). Le jeu de l’amour et du hasard. Oui, c’est ça la vie.
J’ai écrit cette histoire en mémoire des soirées qui ont bercé mon enfance en Auvergne dans le jardin de ma grand-tante. C’est elle qui m’a, dans le déclin d’un jour d’été, montré ces délicates chauves-souris dans leur danse désordonnée. « On les appelle des ratapounades » m’avait-elle précisé. Était-ce un mot inventé ? Peut-être, car ne je l’ai jamais retrouvé ailleurs.
Quand, encore aujourd’hui je les reconnais, les mêmes, à la tombée de la nuit dans mon autre jardin du crépuscule de mon existence, j’ai une étrange sensation de paix qui m’envahit, comme si toutes les parenthèses toxiques avaient été balayées par leurs ailes papillonnantes. Elles m’accompagnent dans l’immense bonheur de ma vie actuelle.
Ces charmantes ratapounades veilleront sur vous comme elles ont veillé sur moi. Je vous ai offert dans ce roman les pipistrelles du souvenir.
Françoise